Pour avoir surmonté deux cancers*, je crois pouvoir dire qu’on ne soigne pas le cancer par la seule médecine. Je sais désormais, pour l’avoir éprouvé à 15 ans d’intervalle, combien les soins qu’on dit encore « supports » ou « de confort » jouent un rôle grandissant et primordial dans la guérison. Et je veux parler en premier lieu de la pratique sportive, ou « activité physique adaptée ».
Une fois le diagnostic du cancer posé, j’ai rapidement ressenti le besoin d’une pratique sportive en marge des radiothérapie et chimiothérapie, à la hauteur de mes capacités. J’ai été en ce sens encouragée par l’ensemble des oncologues que j’ai rencontrés. (Ces mêmes oncologues qui aujourd’hui m’encouragent à maintenir et à poursuivre la pratique sportive pour une durée… indéterminée.)
Cette nécessité donc, répondait à une évidence : le cancer entraîne une implacable et nécessaire prise de conscience de son corps, de la nécessité d’en prendre soin, de l’entretenir (on ne naît pas tous·tes sportifs·ves !). En outre, la pratique du sport était aussi pour moi une façon d’échapper à ce qui me définissait désormais : aux yeux des proches et de la société, malgré tous vos efforts, vous devenez le « malade », vous n’êtes plus du côté des bien-portants.
Pratiquer un sport adapté à ma pathologie, c’était prendre soin de moi (m’accorder du temps et de la bienveillance) ; c’était compenser les douleurs, ne pas les laisser s’installer, consolider un moral parfois vacillant ; c’était aussi m’imposer une discipline, des rendez-vous réguliers, un planning.
Pratiquer du sport quand on souffre d’un cancer, c’est certainement le moyen le plus efficace de rester du côté de la vie.
J’ai découvert l’Espace Human Physio par l’intermédiaire de proches et amis. Au premier rendez-vous j’étais convaincue : par l’accueil, l’écoute, l’attention portée à mon histoire, et le programme envisagé. L’accompagnement par un professionnel, kiné, préparateur physique, etc., est essentiel et irremplaçable : j’ai éprouvé durant chaque séance le privilège que constitue l’œil exercé d’un professionnel de santé, qui saura adapter un exercice, moduler un effort, préconiser un soin, et aussi, repérer une baisse de moral et y remédier. Ce constat vaut particulièrement pour l’Espace Human Physio où les décisions sont collégiales et où l’on ne craint pas de partager ses avis et observations (bien au contraire !) – y compris avec les médecins extérieurs au cabinet (j’ai ainsi bénéficié d’un suivi concerté entre l’Espace Human Physio et l’équipe du centre anti-douleurs du CHU de Nîmes).
L’accompagnement de Human Physio s’étend au-delà encore : quand je le pouvais, j’ai poursuivi la pratique de la natation en suivant les recommandations des préparateurs sportifs, pour des exercices adaptés que je n’aurais pas pu mettre en place sans leur conseils avisés.
Le lieu du sport tel qu’il est pratiqué chez Human Physio, c’est aussi un espace de sociabilité, où l’on n’est pas seulement confronté à des corps malades, blessés ou handicapés, mais aussi à ceux de bien-portants, voire de sportifs de haut niveau. C’est un lieu où l’on n’est donc pas un malade parmi les malades, un cancéreux de plus, mais un corps agissant au milieu d’autres corps agissant. Soutenu et accompagné par des professionnels aux compétences complémentaires, capables de déléguer ou de laisser agir celui qui saura le mieux trouver les mots lorsqu’un jour plus qu’un autre l’effort est rendu difficile, à cause de la douleur, des effets secondaires induits pas les traitements, ou du moral au plus bas. J’ai soigné le cancer aussi grâce au sport que j’avais pris l’habitude de pratiquer deux fois par semaine, et que je n’ai pas cessé depuis (je suis en période dite « de rémission »).
La pratique du sport n’exclue ni celle d’autres soins support, comme le yoga, la méditation, mais la satisfaction dans l’effort qu’il apporte aux patients lui reste attachée.
Parce que comme beaucoup de malades en ALD (affection longue durée) j’ai vu mon salaire se réduire, j’ai dû faire des choix : la pratique d’une activité physique adaptée a un coût et elle n’entre pas aujourd’hui dans la prise en charge d’un cancer. Si je publie ce témoignage, c’est d’abord pour faire profiter ceux qui comme moi auront à se confronter au cancer et contre lequel il s’agit moins de lutter (cessons de parler de « combat contre la maladie » – au combat est trop souvent associée la notion culpabilisante de victoire !), mais plutôt d’optimiser ses comportements en vue de la guérison. J’écris ce témoignage aussi pour encourager les pouvoirs publics dans leur prise de conscience sur le sujet (eu égard au frein que peut représenter le coût financier de la pratique sportive pour les plus démunis d’entre nous). C’est enfin pour m’associer aux démarches entreprises par l’équipe de l’Espace Human Physio, grâce à laquelle – et je les remercie aussi pour leur bonne humeur communicative –, j’ai acquis la certitude que le mouvement, c’est la vie !
Mme B, 47 ans
*Cancer du col de l’utérus en 2003 et Cancer d’origine primitive indéterminée en 2017.
Bonjour,
je m'appelle S., j’ai 39 ans, mariée et 2 enfants. J’ai toujours pratiqué une activité sportive depuis mon enfance. Aujourd'hui je fais principalement du sport en salle et de la course à pied. Depuis quelques années maintenant, des fuites urinaires à l'effort sont apparues. Jusqu'ici cela était "gérable" mais depuis une bonne année, la situation c'est un peu dégradée et notamment depuis ces 3 derniers mois lors de ma préparation pour le Marathon de Barcelone.
Des fuites +++ lors de certaines sorties ont vraiment gâché le plaisir, et donc beaucoup d’inquiétude pour le jour J.
J'ai donc entamé de la rééducation périnéale et des séances de kinésithérapie (sciatique chronique apparemment liée à cette faiblesse au niveau du périnée) et principalement l'INDIBA a été utilisé sur moi afin de détendre au maximum les muscles des fessiers, dos, ischions, adducteurs et ceinture pelvienne...) afin que ces 42 km 195 puissent être couru dans les meilleures conditions et avec le moins de douleurs possibles.
Effectivement, les douleurs ont diminué et le marathon s'est très bien passé, sans problèmes particuliers et où il y a eu quelques fuites mais qui ont pu être gérées avec une protection. Je ne me suis même pas arrêtée aux toilettes et j’ai terminé ce marathon avec de bonnes sensations. Je continue les soins kiné, la rééducation du périnée en espérant que toutes ces gênes soient définitivement réglées.
En espérant que mon témoignage puisse être utile.
Vendredi 9 Novembre
J’aimerai vous raconter un lieu ou coule une source…
Il y a un an et demi, j’y suis arrivée très déprimée, enveloppée dans de sombres etoffes, sous antalgiques puissants afin d’essayer de combattre cette douleur permanente qui se disait « ma nouvelle amie », et connaissant le moindre gravillon de l’asphalte brulant de ce mois de juin, enserrée dans ma ceinture (corset lombaire) à baleines rigides.
Nous sommes en novembre, 18 mois sont passés. J’ai le sourire, le moral au beau fixe. Je prends des antalgiques de façon occasionnelle, ne mets ma ceinture corset que pour des station debout prolongée (pour m’ader et plus pour lutter contre mes douleurs) et redecouvre le ciel bleu avec soleil ou gris avec la pluie, suivant les caprices de la météo : je peux ressortir de chez moi, aller vers les autres…retravailler (infirmière en gériatrie)
Ce lieu ou coule une source, a réparer mon corps meurtri et fissuré (souffrant d’ostéoporose importante ayant eu des fractures vertébrales) en petits morceaux.
Cette source ou l’on se reconstruit, se régénère est alimentée par des personnes compétentes (exercices de kinésithérapies ou préparation physiques encadrés, suivi régulier des progrès par staff hebdomadaire et consultation de suivi bilan), des personnes attentionnées et disponibles (des coups de blues viennent parfois émailler nos efforts…., un rendez vous doit être déplacé…), des personnes agréables en créant une ambiance détendue et teintée d’humour (l’effort en est adouci…)
Voilà un an et demi d’un parcours efficace et partagé en relations humaines.
Quand la séance est finie résonne : »Bon week end à tous ! A la semaine prochaine !
Vivement vendredi prochain.
Je fréquente le cabinet HumanPhysio depuis novembre 2012 à raison de deux séances par semaine Avant de le faire, je tombais souvent je n’avais aucun réflexe pour pallier ces chutes. Mes séances de kinésithérapie mon permis de prendre confiance en moi et d’avoir une posture nécessaire pour ne pas chuter.
Au bout de trois ou quatre mois, entre une première séance sur IMOOVE et une seconde comprenant les exercices d’équilibre et de renforcement musculaire des muscles de mes jambes, Sous le contrôle régulier, assidu, et très encourageant de Maxime, ce travail m’a permis de JT et de prendre les poses du nécessaire dans la vie de tous les jours
Je souffre d’une ataxie cérébelleuse, associé à une atteinte oculaire. Ma vue baisse de jour en jour, je suis aujourd’hui À 3/10 députés visuelle (je suis malvoyant). Comme la piqué Maxime, l’équilibre tient compte de trois paramètres : La vue, l’oreille, et la proprioception c’est-à-dire la capacité que les récepteurs de mes muscles ont à informer mon cerveau pour qu’il permet avoir la réponse posturale dynamique la plus adaptée.
Chez moi, la vue est défaillante donc il ne me reste que deux paramètres. Depuis plusieurs mois maintenant on a ajouté un travail avec un préparateur physique du centre : Julien. Ce travail de préparation physique sert à renforcer au maximum mes muscles des jambes, à augmenter la sensation au niveau de mes appuis (la proprioception). Ces nouveaux exercices avec Julien m’aident énormément dans ma vie de tous les jours à maintenir mon indépendance ils renforcent ma posture et lutte contre ma perte musculaire entretenue par mon handicap.
C’est en accord avec le Docteur Emily violer, médecin rééducateur au CHU de Nîmes, Que je vois tous les ans, que cette prise en charge adaptée a été organisé associant kinésithérapie et préparation physique
Bonjour Mathias je tenais juste à vous remerciez vous et toute l’équipe (interdisciplinaire)
Un an que vous me suivez et quand je vois le chemin parcouru, j’y serais pas arriver sans vous. Chaque jours je me dépasse un peut plus. Hier j’ai marché dix kilomètres sans ressentir les douleurs. J’ai jamais été aussi motivé. Ma vie prend un grand virage cette année et vous y êtes pour beaucoup. Même si parfois je montre des signes de faiblesses, je suis une nouvelle personne je suis enfin moi. Ma vie prend un nouveau tournant : la fybromialgie est intrusive, elle vous tombe dessus sans prévenir, je compare ça à un tsunami.
Il y a ces semaines d’examens en tout genre ou l’on trouve rien et pourtant votre corps vous lâche, petit à petit et au bout de plusieurs mois le diagnostic tombe et la, c’est une énorme vague qui déferle sur votre vie . On vous annonce que vous devez faire le deuil de votre vie que rien ne sera comme avant qu’il faut renoncer à travailler que vous allez rester avec votre béquille voir un fauteuil roulant.
Et juste au moment où je commençais à perdre pied et à renoncer j’ai poussé la porte de votre cabinet et là enfin j’ai trouvé quelqu’un qui comprenait et qui s’intéressait vraiment à cette pathologie .
Vouss avez su, avec toute votre équipe, me redonner la force, l’envie, pour avancer. Maintenant tout est clair dans ma tête et je suis redevenue le chef d’orchestre de mon corps et ma vie.Je sais qu’il reste du chemin à parcourir mon objectif le NUT 2019 : courir et montrer à tous que malgré la fybromialgie on peut rester maître de son corps et sans être sous dépendances de divers molécules inefficaces.
Je suis Sonia .je suis moi . MERCI
Ça fait un an ... un an déjà que les soins ont commencé ...
Premier kiné de l’ insep paris, csma; qui en panique à perdu pied en moins de un mois ... oui je suis un cas un peu spécial ??
Et puis j’ai rencontré Mathias et toute son équipe ... Un kiné philosophe, à l’écoute, bienveillant et compréhensif ... une équipe de choc, rigolote et très pro !!!
Je suis arrivée seulement en juin chez Mathias, 800 mètres à marcher me demandait 45 mins d’efforts dans des douleurs d’un autre monde ... impossible de rester assise sur une chaise juste pour manger ...
Je suis passée par des douleurs attroces, des blocages... des massages à pleurer et en faire des crises de spasmophilie en même temps ... mon corps s’exprimant comme il pouvait ... et puis il a fallu s’occuper du mental, car le mental en chute à cause des douleurs et de l’inactivité ... j’ai été et suis encore soutenue sans relâche ...
Nous avons travailler couche par couche sur les muscles ... des pieds à la tête ... électrodes, sonde, indiba, imoove,rééducation, sport ... des moments joyeux autant que difficile ...
des rencontres exceptionnelles avec des patients ... de l’entraide, du réconfort ... Audrey C. Jerome H. pour les plus proches ????
Et puis la reprise seule de mes activités sans douleurs, juste allée au supermarché,du sport seule enfin en douceur et ma première victoire avoir fini le NUT ... et ce n’est pas fini !!! #imback
Kinés et coachs avec chacun leurs spécialités, nous soignent chaque jour et s’adapte au jour le jour selon notre état ...
Cette semaine on attaque le nouveau protocole qui pour moi est l’un des plus important, celui qui me permettra d’avancer encore plus et de reprendre l’escalade et bientôt la fonte ?? #press et surtout ce qui est en suspend professionnellement ...
Il y a encore du chemin mais c’est une aventure, une belle aventure, un combat, une force !!!
Un grand MERCI à cette équipe de HUMAN
PHYSIO ET PHYSIO PERF, secrétaires comprises car elles sont vraiment adorables aussi, merci d’être là et de nous réparer !!! Mathias Willame Maxime Mourgues Julien Coin Arthur Decourt Aurore Alias Julie, Sara, Nico,Lionel, Ludivine......
Merci à tous ceux qui me suivent et me soutiennent car vraiment c’était difficile, je n’y serait pas arrivée sans vous non plus !!!
Je me sens encore plus folle et forte qu’avant, plus inspirée et encore plus rêveuse !!! #nevergiveup #laragedevivre
#mercilaviepourcetteepreuve
- 62 semaines sans Grimper
- 62 semaines sans Freeletics
- 80 semaines sans Roller
- 108 semaines sans Bachata ou presque
J’ai 53 ans, le diagnostic de ma maladie de Parkinson remonte à 4 ans environs. Apres des mois ou je me sentais de plus en plus mal en me demandant ce qui m’arrivait, le diagnostic m’a fait l’effet d’une bombe. Pour moi, médecin, c’était une maladie de vieux, j’ai toujours du mal à l’accepter d’ailleurs. Après une « lune de miel » ou le traitement médical m’avait bien amélioré, j’ai continué de m’aggraver, avec la nécessité d’augmenter régulièrement les doses et l’apparition d’effets secondaires multiples. J’ai donc bénéficié de la pose d’un stimulateur cérébral il y a un peu plus d’un an, avec un résultat mitigé : sur le plan moteur un net mieux et la possibilité de baisser les doses de L-Dopa, mais tout un tas de « petits » effets secondaires continuent de me pourrir la vie. Douleurs musculaires qui me réveillent plusieurs fois par nuit, insomnie, troubles de l’attention (je « papillonne »), difficultés de concentration, pas facile de maintenir une petite activité professionnelle….
La place de la kiné et du sport ?
J’y suis allé d’abord pour des douleurs musculaires. Entre le moral dans les chaussettes et l’arrêt de toute activité sportive, j’avais laisser filer mon poids jusqu’à 103 kg. En plus des massages, le cabinet Physioperf’ m’a amené progressivement à de la rééducation sur IMOOVE pour les problèmes de posture et d’équilibre, puis à de la musculation classique.
Je ne serais jamais allé dans une salle classique, ayant une assez mauvaise image de cette activité. J’ai par contre toujours aimé les sports nature et extérieur (vélo car c’est facile de partir rouler de la maison, mais surtout alpinisme, ski, randonnée). Le bénéfice du paquet « massage plus sport » a été très net : remotivassions et bien être général amélioré. Perte de poids (-18 à 19 kg, pour me rapprocher de mon poids à 18 ans). Remotivassions pour une activité sportive régulière. Reprise de l’escalade et de l’alpinisme (randonnée en ski, quelques belles course classiques d’alpinisme à mon meilleur niveau : arêtes du Lyskamm, traversée des arêtes de la Meije,….).
Ca m’a permis de tenir trois ans de plus avec l’impression que je pourrai encore faire quelque chose. Les plus belles courses d’alpinisme m’ont d’ailleurs servi d’euphorisant pendant plusieurs mois.
Aujourd’hui, la lente dégringolade continue, les choses continuent d’évoluer, le moral n’est pas au beau fixe. Difficile de se tenir à mes rendez vous (2 à 3 fois par semaine). Mais un seul mois avec peu de séances d’entrainement m’a bien montré sa nécessité : j’étais encore plus rouillé, lent au démarrage, douloureux, incapable de me bouger qu’aujourd’hui. Le neurologue qui me suit dans la ville où je me suis fait opérer me conseille instamment d’intensifier mes séances de musculation, pour la posture, l’équilibre, le mouvement en général. Cà ne me guérit pas mais çà m’aide à vivre avec. J’espère encore aller grimper en falaise dès le printemps prochain.
En ce qui concerne le cabinet Physioperf, j’ai beaucoup apprécié l’ambiance très conviviale. Petite structure, on nous fait bosser sur l’idée que chacun est un sportif de haut niveau, mais à des niveaux différents. En d’autres termes, « à chacun son Everest ». On se retrouve donc pour pédaler, sauter ou pousser de la fonte, entre un obèse qui a du mal à maigrir, une sclérose en plaque, un maçon lombalgique, un sportif de haut niveau qui s’est blessé, un cérébrolésé , …. Mais aussi un jeune cadre dynamique stressé, un grand mère athrosique, une étudiante qui vient se défouler. Chacun a son niveau, on a l’impression d’être entre gens normaux, sans jugement sur la performance, dans une ambiance très bon enfant.
Tout ça n’empèche pas la maladie de continuer d’évoluer, qui reste une effroyable épreuve, avec en ligne de mire une déchéance physique et une dépendance plus ou moins complète. Simplement, si je saute une séance, elle me manque et je me sens encore plus mal.
En préambule, je souhaite aborder un point qui m’est personnelle, à savoir l’acceptation de ma scoliose. Agé de 54 ans, je suis affecté d’une scoliose de plus de 54° d’angles cumulés. Avec le recul, il m’apparaît qu’à l’annonce de celle-ci et de son importance, il s’est produit par effet de sidération, outre une rétraction sur moi-même, une dissociation entre mon corps et moi. Ce rachis, relevant plutôt du tire-bouchon que de la colonne, a « pris le contrôle». Dès lors, j’ai habité mon corps en passager, dans l’attente de la prochaine crise douloureuse, du prochain lumbago, de la prochaine sciatique et avec une liberté de mouvement dont les limites étaient à scruter attentivement sous peine de sanction immédiate. Ce point influe fortement sur le psychisme. Peut-être que ce type d’annonce par le corps médical fait l’objet d’une attention particulière de nos jours. En soin depuis juillet 2016 au cabinet de kinésithérapie de M Mathias Willame, au-delà des soins prodigués lors des épisodes douloureux, je suis une préparation physique adaptée à mon rachis, sous la forme d’une séance hebdomadaire d’une heure d’activité physique. Je tiens à témoigner du bien fait, aussi spectaculaire qu’ inattendu (pour moi), De ces séances. Elles me permettent en quelques sorte de réintégrer mon corps, de me le réapproprier. Le fait d’exercer sa musculature donne de la puissance au propre comme au figuré. Il en fait de vous l’acteur et non celui qui subit. De plus, l’accompagnement bienveillant des préparateurs physiques rompt la relation « exclusive » que l’on entretient avec sa pathologie. Par ailleurs, ma consommation d’anti-inflammatoire et antalgiques s’en est fortement ressentie.
Efficience et bienveillance me semble qualifier justement la méthodologie employée au sein du cabinet Physioperf, de la part de M. Willame et de ses collègues masseur-kinésithérapeute, des préparateurs physiques et des secrétaires médicales (mention particulière pour Clarisse). Et J’en profite pour les remercier tous avec toute ma gratitude.
M R.A
Mathias Willame compare le fait de faire un ironman à une rééducation. Le résultats est le même, il n'y a pas de classement mais juste d'aller au bout et comme le dit Patrice dans son témoiniage: "FINIR C'EST GAGNER"
Merci à mon ami Patrice AMADIEU-50 ans- Entraineur Technique National Ffgolf pour son témoiniage.
"Ca m'est tombé dessus lors d'un ironman, dans le Gard, ou j'étais venu accompagner deux copains".....
....Le soir, en voiture, sur la route du retour, je me suis mis à pleurer:"je veux faire ça, c'est incroyable ce truc..."
....Je n'ai pas été un champion, ou alors je l'ai été par procuration avec les sportifs que j'ai entrainés. C'EST MA FACON DE LE DEVENIR.
Mon expérience "indiba " ou comment retrouver la souplesse de cou d'une danseuse de Bollywood !
Opéré du rachis cervical,j'ai eu la chance d'être pris en charge par mathias Willame et sa fabuleuse équipe .
J'ai découvert cette thérapie dès ma première séance et ce 15 jours après mon intervention.
Le bien être procuré a été immédiat ! La décontraction des muscles est perceptible à chaque passage de la sonde,qui dégage une chaleur supportable et de très légers picotements en raison du courant électrique émis .
La rigidité qui s'était installée,par le port de la minerve et la peur de faire de mauvais mouvements,à l'étage opéré ainsi qu'aux étages inférieurs a disparu au bout des 10 minutes de traitement.
Quel bonheur de retrouver de la souplesse et de l'amplitude dans ses mouvements !!
Au delà du simple effet thérapeutique du traitement, il y a un élément psychologique indéniable,la confiance que cela procure est un véritable coup de boost pour aborder sa rééducation .
Je suis convaincu que cette thérapie peut être utilisée bien plus tôt en traitement post opératoire car elle est douce,non invasive et rassurante.
J'en suis maintenant à 3 mois de traitement indiba en parallèle d'une rééducation plus traditionnelle,impérative et nécessaire et je peux déjà envisager de récupérer l'intégralité de mes capacités à l'issue de ma rééducation.
"Merci madame pour votre énergie, votre amour de la vie, vous êtes un modèle pour beaucoup d'entre nous." Mathias Willame
Amandine presque 30 ans jeune maman célibataire.
Malade d'une SEP depuis 6 ans cette maladie qui aurait pu me détruire car je suis tombée malade au milieu d'étude d'aide soignante après un diplôme de secrétaire médicale. Mais après le choc et le début des traitements ... Cette nouvelle vie , car oui c'est une nouvelle vie car je crois que tout est dans l'acceptation de son nouveau mode de vie avec une adaptation à la maladie. Et ne pas vivre pour la maladie mais vivre avec .
L'équipe de Mathias et lui même ont contribué à tout cela avec tout d'abord une rééducation intensive. Et maintenant surtout de l'activité physique.
Merci pour votre soutien sans faille.
Merci pour votre professionnalisme
Merci pour votre envie de progresser et de faire progresser.
Retrouvez notre expérience en cliquant sur en savoir plus
A la suite du programme Golf et Santé ou comment sortir de la sédentarité et de ses conséquences (obésité, douleur articulaire, musculaire, manque de confiance...)
Merci Gérard pour ce témoignage:
"A 65 ans, quand je suis arrivé pour la première fois sur le practice, je pouvais à peine marcher et me baisser. Dans ma petite tête, j'étais un homme condamné à être un handicapé ( j'ai d'ailleurs une carte ), un gars sur le bord de la route devenu spectateur de la vie........En 1 mot j'ai retrouver la < pêche >. La route sera longue encore, mais pleine d'espoir...."
Retrouvez tous les articles de cette expérience dans la rubrique presse du site
Juin 2016...retour
Il y a seulement deux semaines, lésion du tendon de la longue pièce du biceps lors d'un entrainement. Avec D Olivier Mares, ce monsieur m'a évité le bloc. Ils m'ont raconté l'histoire de qui allait être bien bientôt sans opération, lui et toute l'équipe m'ont aidé pour me mettre bien en un temps record. Ce n'était pas de la magie, nous travaillons beaucoup et nous avons mis beaucoup de coeur. Merci à tous ceux qui m'ont donné un coup de main, merci, merci beaucop. Ce n'était pas de la magie
J’ai 42 ans et je ne peux plus marcher. C’est facile à dire mais plus difficile à vivre.
J’ai 4 hernies discales, je suis sous cortisone depuis 1 an, j’ai fait 3 infiltrations en 4 mois et pour pouvoir marcher et travailler je fais 3 piqures de myorelaxant par jour.
Je ne parle pas de ma posture car je ressemble à une petite vieille toute bossue. Mais ce n’est qu’un détail.
J’ai un mari qui heureusement m’aime et me supporte et 2 enfants que j’essaie de préserver le plus possible mais qui me l’avoueront plus tard ont aussi bien souffert de la situation.
Pendant 1 an j’ai tout fait pour ne rien laisser paraitre mais pendant l’été 2015 je suis arrivée au bout de ce que je pouvais supporter. J’en arrive à refuser des invitations et je suis même incapable de sortir de la voiture pour rentrer dans un centre commercial et faire du shopping. Plus rien ne me fait plaisir et surtout je n’ai plus aucun plaisir.
J’en arrive à tel point que j’attends avec impatience d’en arriver au moment fatidique qui consisterait à me faire opérer.
Mon époux est pharmacien, je travaille en tant que comptable avec lui, alors pour ce qui est des médicaments et des médecins, j’ai fait le tour de tout !!!
J’ai l’impression de ne pas rien laisser paraitre de ma douleur car je fais tout pour que personne ne pâtisse de mon mal mais finalement, comme on me le dira plus tard, tout le monde voit mon visage se transformer et ma douleur me courber de plus en plus. Depuis mars 2015 j’ai eu 2 énormes crises qui m’ont clouée sans bouger pendant 15 jours, je demande la nuit à mon mari de me tourner dans le lit car je n’y arrive pas toute seule et de plus je ne suis pas montée dans à l’étage pour voir la chambre de mes enfants depuis bien longtemps.
Arrivée fin aout, je suis au bout du rouleau mais j’ai la chance de diner avec des amis et l’une de mes amies proches vient s’assoir à côté de moi et me dit ce que je n’oublierais pas de sitôt je pense « ça y est Stephanie tu es au bout. Tu ne peux pas continuer à avoir mal comme ça. Je te prends rendez vous à Nimes chez mon kiné, il m’a sauvée et tu ne risques rien à aller le voir. »
Aussitôt dit aussitôt fait j’ai rendez vous le 5 septembre.
Reste le plus difficile, dire à un pharmacien que l’on va faire 250 kilomètres pour aller voir un kiné !!! Alors on ne va pas voir un kiné mais dans une clinique spécialisée dans le mal de dos ! Je n’avouerais qu’à 20 kilométres de l’arrivée la supercherie !
J’arrive donc chez Mr Willame qui en plus de mes examens médicaux m’a demandée d’apporter mes affaires de gym. Je crois qu’il ne se rend pas bien compte que je ne peux même plus attacher mes chaussures et que c’est mon fils qui m’aide le matin à les mettre. Alors son sport c’est pas demain la veille que je vais en faire !
Un petit détail, pour arriver à son cabinet, il faut traverser une cours qui fait à peu près 20 métres, je vais mettre 15 minutes pour y arriver.
Au vu de mes examens médicaux, Mr Willame m’annonce qu’il n’y a rien de grave et qu’après un test sportif il va discuter avec moi des solutions qu’il envisage.
Bien sur, je n’ai rien et en plus je vais faire son test. Il se fout de moi ou quoi ??!! Mais bon j’y suis et donc test !
Après mon heure de test avec Maxime, kiné, qui m’apprendra par la suite des exercices de respiration et de posture et Lionel, préparateur physique, qui lui voit arriver dans sa salle un bout de bois tordu qui n’a aucune envie de se bouger et qui ne prend aucun plaisir à faire du sport mais qui on le verra plus tard me fera découvrir la joie de transpirer dans sa salle, je retourne dans le bureau où mon mari est resté pour discuter avec Mr Willame. Et là le verdict tombe !!
« Mme Bonnet vous n’avez rien qui vous empêche de marcher et de vivre normalement (1 éres larmes), vous allez venir 3 jours par semaine jusqu’à Noël et là on pourra voir les progrès et vous verrez que tout ira mieux » (Bien sûr et le Pére Nöel descendra du ciel aussi peut-être ! )
Je sors du cabinet avec un rendez vous pour le jeudi 17 septembre et une fois passée la porte je me mets à sangloter en disant à mon mari qu’il était hors de question que je vienne à Nimes 3 jours par semaine, et que je verrai ailleurs. Je ne laisserai pas mes enfants, un à la fac et l’autre en seconde, ni la pharmacie non plus pour une hypothétique guérison ! Et là, mon mari qui ne voulait pas voir un Kiné de plus à Nimes me dit en me prenant dans ses bras que je vais venir autant qu’il faudra parce que l’approche de Mr Willame est cohérente pour lui et que l’on va y arriver. Et ben non, pas question, je ne viendrai pas !!
Mais en rentrant chez moi, mes enfants adhérent tout à fait à l’idée, mes parents mettent tout en place pour s’occuper du petit, mes employés modifient leurs horaires pour laisser 3 jours de libre à mon mari, mes amis m’encouragent dans cette démarche et me voilà partie pour des stages de 3 jours à 250 kilometres de chez moi et ça tous les jeudis.
Je loge à l’hotel situé à 250 metres du cabinet, je ne peux pas aller à pied de l’hôtel à celui-ci. J’y arriverai dans 3 semaines en 40 minutes. Il y a un magnifique parc près du cabinet, je n’y rentrerai pour visiter que début décembre. Pour faire cours maintenant il me faut 6 minutes pour aller de l’hôtel au cabinet en passant par le parc où je me promène tous les soirs de stage et entre 12 et 14 heures je dévalise les magasins nîmois.
Mais tout n’a pas été facile et voilà le récit de mes stages :
J’arrive le jeudi à 11 heures où là j’ai droit à mon 1er massage (alors des massages j’en ai eu mais des massages comme ceux la jamais !) Je ressors avec des bleus énormes sur tout le corps,( il s’atténuent en général le mercredi pour revenir le jeudi suivant ! ). Je rentre à l’hôtel pour me coucher rapidement car déjà à ce moment là je suis épuisée.
Je remets ça l’après midi avec un massage « décontractant » 1 séance d’Imoove avec Julien, préparateur physique, très très éprouvante car la posture que je suis sensée avoir et à l’opposé de celle où je me sens le mieux et où j’ai le moins mal. Il faudra attendre de longs mois pour que je puisse ressentir la position dans laquelle mon corps est droit.
La journée du jeudi se termine par 1 massage relaxant et souvent 1 séance d’électro stimulation.
Le vendredi, après une longue nuit de sommeil, arrive le massage et la séance de sport !! Alors là j’ai tout eu !! La respiration, j’arrive à gérer ! Les petits abdos, facile ! Se relever, tant bien que mal, j’arrive aussi ! Du coup on se lance dans un mini parcours de préparation physique, et là dés la 1ere fente c’est fini !!! Bloquée de chez bloquée !!! Je ne bouge plus !! Et pour la 1ere fois de beaucoup d’autre je deviens l’attraction du cabinet !! En effet je vais même réapprendre à marcher, avec élastiques au pied et bâton de ski !
Mr Willame va me débloquer de nombreuses fois pendant mes stages car en général le vendredi après midi j’arrive toute tordue, mais malgré les découragements que je vais ressentir à ces moments là, la confiance que je lui accorde me permets de tenir et de ne plus avoir peur de me retrouver en situation de blocage. C’est la période la plus difficile moralement car je ressens par moment un découragement certain de me dire que je fais des efforts énormes et que la douleur est toujours présente.
Le vendredi après midi, après débloquage les premières fois, je fais une nouvelle séance d’Imoove suivie d’un nouveau massage.
Le samedi matin 1 heure de sport et 1 massage qui me permettra de tenir jusqu’au prochain stage.
Le retour chez moi ce fait en dormant, car je suis dans un état d’épuisement total et ça jusqu’en novembre. Je me poserai la question de savoir si ça vaut le coup de faire tous ces efforts jusqu’en décembre où là je ressens après chaque stage un bien être que je n’ai plus ressenti depuis bien longtemps .
A l’heure actuelle je viens en stage pour consolider mes postures et parce que la peur de me voir me rebloquer est présente chez mes proches. Je reconnais que moi j’ai oublié ou alors occulté mes douleurs passées et que je n’ai enfin plus peur de vivre normalement.
Nous sommes mi juillet et je peux dire que tout va bien, je sais que toute ma vie mon dos aura une pathologie particulière mais j’ai confiance dans le cabinet de Mr Willame et je sais qu’en venant régulièrement chez lui pour un entretien ou éventuellement après un bloquage je peux vivre comme tout le monde.
Ce qui me marquera en ce début d’été fut le fait que mon fils cadet est venu visiter avec nous Nimes et qu’en l’emmenant voir les arènes je me suis posée la question de savoir si elles n’avaient pas changé de place !!!!! Elles me paraissaient si loin en septembre alors qu’aujourd’hui elles me paraissent toutes proches !! Je suis passée de 60 minutes à 10 minutes pour aller les voir depuis l’hôtel !!!! C’est ce qui ma fait dire que j’ai vécu une sacrée aventure !!!
Merci pour tout Mr Willame
Cela fait plusieurs années qu'une gêne au niveau de la hanche gauche s'est installée petit à petit avec des conséquences multiples allant jusqu'à un blocage complet de celle-ci à 2 reprises interdisant la marche pendant quelques minutes, une boiterie dont je n'avais pas conscience, une difficulté à lever la jambe rendant compliqué le fait de mettre son slip ou sa chaussette. Des douleurs chroniques la nuit quelque soit ma position dans le lit et la station assise dans un canapé ou au cinéma le temps d'un film insupportables. Suite à 5 mois de séances hebdomadaires chez un kiné posturologue associées à des exercices d'étirements quotidiens à la maison et la fréquentation bi-hebdomadaire d'une salle de sport avec des exercices plus ou moins bien ciblés (non coordonnés directement par la kiné), j'ai ressenti une amélioration de la flexion rendant à nouveau possible l'habillement, une atténuation des douleurs de la hanche sans qu'elles ne disparaissent avec une mutation des douleurs vers le genou. Les séances de kiné n'apportant plus d'amélioration et ne permettant toujours aucune rotation de la hanche gauche, le praticien m'a conseiller d'une part une radiographie et d'autre part de changer de méthode de kinésithérapie. D'autant qu'après une interruption de 15 jours des séances pendant les vacances, m'a fait perdre le bénéfice des efforts engagés. La radio a révélé une coxarthrose de grade IV et j'ai consulté l'Espace Physioperf à Nîmes pour la kiné. Nous avons débuté des séances de massages associé à Indiba sur un rythme de 2 fois par semaine, puis associé à des séances de rééducation réellement coordonnées sur le rythme hebdomadaire d'une séance Indiba et une séance rééducation pendant 4 semaines, puis enchainé sur le rythme hebdomadaire d'une séance Indiba et une séance avec le préparateur physique, puis enfin espacé les séances Indiba tous les 15 jours tout en maintenant la préparation physique toutes les semaines. J'ai maintenu par ailleurs les séances en salle de sport 2 fois par semaine en reprenant les exercices vus à l'Espace Physioperf. Les résultats ont été spectaculaires, puisque j'ai gagné en flexion dès la deuxième séance, les douleurs à la hanche se sont estompées peu à peu. Dès la quatrième semaine, j'ai retrouver la rotation de la hanche jambe tendue. Après une dizaine de semaines, plus aucune douleur du genou, quasiment plus de douleur à la hanche que se soit chronique la nuit ou dans le canapé ou au cinéma. Du coup j'ai cessé de consommer des antalgiques et j'ai retrouvé le plaisir de dormir la nuit. Merci à Mathias WILLAME et à toute l'équipe qui par des pratiques innovantes et une approche du parcours de soin réellement coordonnée ont freiné ma perte d'autonomie, l'ont fait reculée, m'ont fait retrouver le sommeil et le plaisir d'aller au cinéma.
Tout d’abord sur mon activité dans le cadre de la prise en charge de l’obésité : depuis quelques années, nous avons développé un réseau de soins. L’activité de diétothérapie et de suivi des troubles du comportement alimentaire est associée de façon systématique à un programme de reprise d’activité physique et c’est en ce sens que Mathias WILLAME et son équipe interviennent auprès de nos patients selon un programme spécifique adapté à la problématique du surpoids. Sa participation est primordiale et indispensable dans le cadre de cette prise en charge pluridisciplinaire et revêt une importance capitale pour la réussite du traitement global.
Notre partenariat s’exerce également dans le cadre de mon activité de cancérologie où les soins de kinésithérapie sont utilisés d’une manière adjuvant aux traitements de chimiothérapie comme « best supportive care » afin d’aider au mieux le patient. Là aussi les soins prodigués ont une importance capitale dans le projet thérapeutique.
Dans ces deux situations spécifiques et bien différentes, j’ai pu noter des résultats réels sur le traitement avec une satisfaction du patient mais également des différents soignants impliqués.
Rencontre en 1999 à mes début au HBCN, nous avons partagé tant de moment ensemble.
Une blessure importante à 9 mois des JO de 2002. Mon premier genou rééduqué et mon premier petit miracle avec te participation au JO puis ce titre de championne du monde en 2002. jusqu'à la fin de ta carrière tu m'auras donné ton professionnalisme et ta confiance qui m'auront fait progresser.
M.Willame
Suite à des problèmes de rotules récurrents depuis mon plus jeune âge ,ayant déjà donné lieu à 4 interventions chirurgicales , je me suis retrouvée il y a un peu plus d'un an très handicapée dans mes mouvements quotidiens , voire même dans ma capacité à marcher et â effectuer des mouvements basics !
Plusieurs chirurgiens m'ont préconisé une prothèse totale , tout en émettant quelques réserves quand à mon âge et à la durée de vie d'une quinzaine d'année d'une prothèse totale !
Après un an de douleurs , d'inactivité et de douleur amplifiée par cette même inactivité il m'a été conseillé de faire quelques séances chez un Kiné et c'est là que monsieur Willame est intervenu !
Tout d'abord réapprendre à utiliser mes jambes et remuscler mes quadriceps qui effectivement ne peuvent que soulager ma rotule. Associer à des séances d’Indiba , une séance de sport par un coach sportif , au sein du cabinet et supervisé par un kinésithérapeute.
Les soins stimulant les muscles grâce à un massage profond , et le sport me permettant dans un cadre médical de travailler et de refaire mon enveloppe musculaire , très appauvrie par le non exercice du fait de la douleur .
Après un mois et demi de traitement , je commence à retrouver un peu de mobilité et une certaine capacité à me mouvoir ;
Il va sans dire que le bénéfice est déjà probant , mais qu'il faudra encore de longues semaines pour parvenir à un résultat optimal !
5 championnats d'Europe, 3 championnats du Monde. 3 médailles: Argent en 2006 en Ecosse aux Europes et l'or en 2010 aux Mondiaux en Argentine puis aux Europes en Suède
Merci aux joueurs pour leur confiance
Merci Patrice AMADIEU et à travers toi tous les staffs pour ces belles années.
Après avoir souffert durant de nombreuses années de maux de dos m'immobilisant et entravant ma vie quotidienne, j'ai eu la chance d'être orienté, par le médecin rhumatologue consulté, vers le cabinet de Monsieur Mathias Willame.
Après une dizaine de séances de massages, ce dernier m'a proposé la pratique d'une activité sportive adaptée individuellement appropriée et surveillée par un coach sportif, toujours au sein de son cabinet.
Cela fait maintenant 3 années que je suis assidûment le programme conseillé par l'équipe Espace Physioperf sur les fondamentaux de HUMAN PHYSIO
Le suivi sportif, accompagné de massages kinésithérapeutes réguliers représentent une combinaison idéale qui a changé ma vie.
Pour mon plus grand confort et bonheur, depuis ces trois années écoulées je ne vis plus ces périodes allongées prenant des traitements de plus en plus forts, pas toujours très efficaces.
J'avoue me sentir en pleine forme physique et avoir trouvé enfin un véritable bien être et Equilibre.
Mon seul regret: ne pas les avoir rencontré plus tôt, mon seul conseil que de nombreuses personnes puissent les découvrir et arrêter de souffrir.
Des rencontres exceptionnelles, Alain Portes mon premiers grand coach, des joueuses de coeur Rebecca, Corinna, Sandy, Lisi, les jumelles Hansen...
Merci mesdames pour toutes ces émotions, votre énergie communicative... et 2 titres de Champion d'Europe à vos côtés en 2002 et 2007
J'ai découvert le cabinet Physioperf en 2012 sur le conseil de mon rhumatologue.
Je suis atteinte d'un syndrome de Noomann associé à une neuropathie non définie qui s'apparente à une maladie de six. J'ai subi, en 1994, une opération des deux pieds pour stopper l'évolution des deux pieds creux qui me conduisaient peu à peu au fauteuil roulant.
Lorsque je suis venu consulter Monsieur Willame je souffrais d'une arthrose des hanches et de douleurs rachidiennes. Celle-ci commençaient à devenir invalidante. Monsieur Willame m'a proposé d'associer les séances de kinésithérapie prescrite à une activité sportive de préparation physique au sein de sa structure.
L'exercice physique (sur les principes de préparation physique) est très important pour freiner l'évolution de la neuropathie en développant les qualités musculaires. Cependant à l'époque je ne trouvais pas de structures adaptées. Lors de la venue, je marchais avec difficultés et avec beaucoup de douleurs.
Petit à petit, j'ai senti les effets bénéfiques de la gymnastique associée aux séances de kinésithérapie : assouplissement des muscles et des articulations, moins de prise d'anti-inflammatoires et une plus grande mobilité. Tout cela m'a permis de repousser la date de l'opération de ma seconde tranche (prothèse totale de hanche).
La première intervention s'est déroulée en août 2013. La rééducation a été faite au sein du cabinet. Progressivement les séances de préparation physique ont été réintroduites sous surveillance constante des kinésithérapeutes en relation avec le préparateur physique. Celui-ci nous interroge toujours au début des séances sur notre état de forme, le ressenti de la précédente séance. L'évolution et les exercices sont adaptés en fonction. Si besoin se fait sentir, ils demandent l'intervention du kinésithérapeute du cabinet pour affiner leur choix. Pour moi cet aspect primordial car les caractéristiques physiques sont reconnus.
J'ai subi une seconde intervention (l'autre branche : prothèse totale également) en janvier 2015. La date étend connue longtemps avant, l'équipe de Physioperf en accord avec mon médecin et mon chirurgien nécessaire un programme pré-opératoire : les cours de préparation physique ont été adaptés comme les soins avant cette échéance. Le résultat postopératoire a été une récupération beaucoup plus rapide que la première intervention : moins de douleurs, rapidement une plus grande autonomie et un retour dans les activités socioprofessionnelles plus précoces.
Le bilan aujourd'hui me permet de dire que l'association kinésithérapeute préparateurs physique proposée par le cabinet est une solution idéale pour les personnes dans ma situation (fragilité temporaire ou « état de fait »). Ce
Le travail effectué me permet de garder mon autonomie en respectant mon propre rythme. Je n'ai plus peur de me faire mal car je sais que les exercices sont adaptés à mon handicap. C'est
A ce jour ma mobilité nettement améliorée je ne prends plus d'antidouleur, je fais du sport une fois par semaine sous couvert d'une équipe pluridisciplinaire expérimentée.
Mes douleurs dans le dos m’empêchaient tout simplement d’avoir une vie normale. Pas de sport évidemment, mais surtout un véritable handicap, pour des gestes simples du quotidien avec des douleurs jour et nuit. Moralement c’était difficile aussi.
Après tous les examens, j’ai eu plusieurs prises en charge par des Kinésithérapeutes, Ostéo, etc…
Les soins étaient toujours les mêmes, répétitifs et surtout sans aucun effet !
On me disait également qu’il fallait du repos et rester allongée le plus possible.
La prise en charge de Mathias Willame est radicalement différente : Les soins sont adaptés en fonction de mon état et de la douleur : simple massage, séance d’ostéo, IMOOVE, etc…; et surtout, bouger au lieu de rester allongée.
Tout le contraire de ce qui m’était recommandé avant. Pourtant, au bout au bout de 3 mois, l’amélioration était bien là.
Au bout de 6 mois, j’ai commencé à retrouver une vie normale.
Cela fait 5 ans maintenant et je suis tirée d’affaire.
Un grand merci à Mathias.
« A la suite de ma troisième grossesse, le mal de dos s’est installé à temps complet.
Les examens médicaux et professionnels de santé exposent tous de façon unanime, que j’en souffrirais toute ma vie (IRM, SCANNER, SCINTIGRAHIE, RADIO).
Le mal de dos bien que courant n’est pas acceptable.
J’engage alors de façon active et assidue, toutes les démarches de soins pour m’en sortir. La liste est longue : visite chez le médecin, chez le rhumatologue, antalgique, anti inflammatoire, cortisone, séances de kinésithérapie, séances d’ostéopathie, semelles orthopédique, chiropractie.
Rien de tout cela n’a d’effet. Je redouble les efforts en explorant d’autres solutions telles que la cryothérapie, l’acuponcture, une infiltration sous scanner, centre anti douleur et neuro chirurgien.
En gros si je devais compter le nombre de visites de soins durant cette période pour me soulager, je pense que cela dépasse largement le nombre de 100. Un nombre important bien sur, sans compter le budget non négligeable à engager que je n’ai pas pris la peine de chiffrer.
Après 2 ans de traitement sans améliorations notables, la douleur m’handicape et sape en plus le moral. Direction vite, le centre anti douleur qui me prescrit alors un arrêt maladie avec corticothérapie et préconise pour mon cas une opération (prothèses de disque).
Des amis me conseillent le centre Espace Physioperf à Nîmes.
Je doute, à quoi bon ! Encore du temps à perdre et des soins de santé qui ne payent pas. Ils insistent vivement en me certifiant que c’est DIFFERENT.
Alors je demande une consultation et là… c’est vraiment DIFFERENT !
La prise en charge de HUMAN PHYSIO avec Matthias WILLAME est basée sur un concept très ciblé de professionnels et qui centralise tout dans une seule et même structure.
• L’analyse d’un expert du Rachis sur mon cas
• Une équipe de plusieurs kinésithérapeutes dédiés à votre guérison et présents à 100% lors des mes séances
• Une équipe de préparateurs physiques sportifs formée à votre problématique. Ils ne vous lâchent pas.
• La centralisation de votre dossier patient mais ce qui prime c’est la réévaluation systématique et hebdomadaire de votre cas et de vos progrès. La remise en question si besoin des soins effectués en fonction des résultats obtenus
Car c’est bien là que se fait toute la DIFFERENCE ! On ne traite pas le mal de dos, mais l’individu avec sa problématique de santé dans son contexte personnel et PHYSIOPERF veut obtenir un résultat. L’amélioration de votre santé est pour eux le but à atteindre au-delà du rapport antalgique.
PHYSIOPERF s’est engagée pour moi dans une prise en charge globale de mon problème de santé et développe grâce à ses moyens humains et techniques les pistes efficaces qui me conviennent.
J’ai pu depuis leur prise en charge, reprendre le chemin du travail et retrouver mon activité professionnelle.
J’ai arrêté toutes les autres thérapies et évité l’opération qui aurait été couteuse et chronophage pour ma grande famille. J’ai 40 ans, 3 enfants et on compte sur moi à la maison ?
Mon mari est médecin généraliste et lui aussi a pu constater sur moi la différence !
Je vais beaucoup mieux et en plus je suis rassurée désormais d’avoir trouvé la structure qu’il me fallait. Du sur mesure ! Cela paraît être une évidence et pourtant je n’ai pas vu cela ailleurs ! »
Situation personnelle de patient lombalgique. Je présentais il y a encore quelques années un véritable handicap lié à des douleurs chroniques avec consommation régulière d’anti-inflammatoires et antalgiques. Mon activité professionnelle s’en ressentait au quotidien avec des difficultés pour assurer mes programmes d’endoscopie et des lumbagos à répétition nécessitant des arrêts de travail répétés. Mes activités de loisir devenaient de plus en plus difficiles avec impossibilité de skier ou jouer au tennis. L’offre de soins proposée au sein du cabinet de Mathias WILLAME allant des soins de kinésithérapie, à la préparation physique en passant par l’ostéopathie et le travail sur plate-forme « imoove », m’a permis d’améliorer considérablement ma situation personnelle avec une quasi disparition des douleurs chroniques autrefois ressenties de façon quotidienne, et en corollaire, plus de capacité dans mon activité professionnelle et moins d’absentéisme. Je ne prends quasiment plus de médicament.
Je peux témoigner également pour ma fille, aujourd’hui âgée de 17 ans, qui présente un spondylolysthésis et est également sujette aux lombalgies. Elle a été suivie au CHU dans le service de rééducation et réadaptation fonctionnelle. La seule prescription a été la pratique régulière d’une activité physique et sportive. Le travail sur plateforme « imoove » a transformé sa situation par les résultats obtenus sur sa sangle abdominale. Elle pratique aujourd’hui sa passion, la danse, à raison de cinq heures par semaine.
C'est sur cette vidéo que je tiens à faire mes remerciements envers toute l'équipe de Physioperf.
Mon parcours est différents mais il y a beaucoup de points communs.
Moi aussi on m'a dit que je ne pourrai plus reprendre mon activité sportive, j'étais découragé, heureusement j'avais toujours l'espoir de trouver une solution...
3 titres de Champion de France du 400m 4 nages de 2011, 2012,2014.